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Par lfcali le 9 Mars 2010 à 03:45
« Les grands phénomènes de migration qui vont déplacer près d’un milliard de personnes d’ici à 2040 sont des phénomènes sans référence. On est là devant quelque chose qui remet en cause la sédentarité. Pour des raisons climatiques, pour des raisons économiques, pour des raisons de délocalisation d’entreprises, pour des raisons touristiques, les gens bougent, et ils bougent dans un monde qui est effectivement de plus en plus petit. Cela crée des problèmes au niveau des frontières, avec la construction de murs. Je rappelle que l’un de mes premiers livres portait sur le mur de l’Atlantique. Aujourd’hui on a des murs partout : entre le Mexique et l’Amérique, à l’intérieur des villes. Même à Padoue, en Italie, il y a une palissade qui isole le quartier rom. […] Au xixe siècle, l’exode rural était lié à la ville industrielle. Aujourd’hui, c’est l’exode des villes vers la ville future, c’est-à-dire la ville des villes, la ville des télécoms, la ville des aéroports, des gares, des ports. »
Los grandes fenómenos de migración que van a desplazar cerca de un mil millones de personas de aquí a 2040 son unos fenómenos sin referencia. Estamos allí delante de algo que devuelva en causa el estado sedentario. Por razones climáticas, por razones económicas, por razones de deslocalización de empresas, por razones turísticas, la gente mueve, y se mueven en un mundo que es efectivamente cada vez más pequeño. Esto crea problemas al nivel de las fronteras, con la construcción de paredes. Recuerdo que uno de mis primeros libros se refería en la pared del Atlántico. Hoy tenemos paredes por todas partes: entre México y América, dentro de las ciudades. Hasta en Padua, en Italia, hay una empalizada que aisla el barrio rom. […] En el siglo xixe, el éxodo rural fue vinculado a la ciudad industrial. Hoy, es el éxodo de las ciudades hacia la ciudad futura, es decir la ciudad de las ciudades, la ciudad de las telecomunicaciones, la ciudad de los aeropuertos, las estaciones, los puertos. »
Paul Virilio, Entretien avec Raymond Depardon
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Par lfcali le 9 Mars 2010 à 03:43
Nous ne voyons pas les choses
comme elles sont.
Nous les voyons
telles que nous sommes.
No vemos las cosas
como ellas son.
Las vemos
tales como somos.
Willy Ronis
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Par lfcali le 9 Mars 2010 à 03:42
En otro tiempo el mundo parecía ser eterno
Los árboles a veces formulaban enigmas
agitaban sus ramas con extrañas promesas
y había fé.
Una fé inmensa en que todo sería logrado
entendido y gozado.
En que todo, las sonrisas, las músicas,
Se volverían claras como palabras.
Todo parecía un comienzo.
El conejo que se perdió en las altas hierbas
fugaz, hermoso
la colegiala que desapareció en la esquina,
Tímida, hermosa,
el olor del monte en una madrugada,
el perro, el niño que fui,
no volveré a encontrarlos.
Estanislao Zuleta, "Vejez"
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Par lfcali le 22 Février 2010 à 22:55
Conjointement à l'élaboration du Livre de l'Atelier Photo 2010, se construit le livre de l'exposition de l'année précédente sur «Littérature et Photographie". Pour plus de renseignement sur ce travail effectué de 2008 à 2010 suivre les liens suivants:
www.eltiempo.com/.../taller-de-escritura-y-cine-en-la-programacion-de-la- biblioteca-departamental-en-cali_4923547-1
www.bibliovalle.gov.co/evento.php?EventosID=564
informativodelcafe.com/paginas/notas/biblioteca.htm
Vous pouvez voir d'autres photos de l'Inauguration de l'exposition à la Bibliothèque Départementale sur le site du Lycée.
M.Joval
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